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La margelle du puits
31 janvier 2013

Un jour entier pour dire MERCI !

Un mois d'existence au bord du puits...nuage mireille

Je regarde passer les nuages, assise sur la Margelle...

Vous avez peu à peu constitué une petite famille virtuelle.

Vous êtes venus, vous avez vu, vous avez laissé une

trace, et nous nous sommes enrichis ensemble des apports

de chacun. Dernier jour du mois de janvier, un jour pour

dire merci à toutes les présences étoilées de la Margelle.

 

Merci à Véronique, pour ses contes du vendredi, ses images touchantes,

et ses nombreux commentaires simples et beaux. 

Merci à Denis, Griffe-pétale, pour la justesse des consonances et l'à-propos

des résonances. Il a des arcs-en-ciel plein les mots et plein la main.  

Merci à Philippe, Menhelas, pour l'authenticité de ses opinions, sa franchise,

son franc-parler. Et pour la lumière de ses images.  

Merci à Jean, pour ses petits mots discrets qui vont toujours à l'essentiel.

Merci pour la magie de ses paysages ardéchois.  

Merci à Jean-Pierre pour ses allusions au passé, à l'histoire, aux valeurs sûres.

Pour son bon sens aussi. Et pour le ciel bleu de son pays.  

Merci à Martine, qui est un peu absente, pour cause de villégiature québécoise,

mais qui va revenir pleine de riches émotions à partager.

Merci à Anne, pour les belles illustrations de certains contes de Véro.

Merci à Jérôme, le dernier arrivé, si bien installé, qui met des scintillements

de musique et de poésie sur le bord de la margelle.

Merci à Maky, pour sa rose inoubliable qui a parfumé tout l'environnement du puits...

Merci à Claudie, qui est passée nous voir, avec un exposé fouillé sur la compréhension

du langage, et qui reviendra peut-être...

Merci à Gaëtane, à Diegojack, à Anjo (Anjoyplanet), Suelen (mon amie Suzanne),

petites étoiles filantes. J'en garde une douce lumière au fond du coeur.

Merci à Emilie (deux brins d'acier), à Alain (les sourires de la nature), à Nicolas (neige),

à Phil et Marie (la saveur de la pomme), à Pablo et Serge (les images du désert),

à Jonathan (les enfants du bonheur), à Laurence (petite flamme lucide) pour les

photographies qu'ils nous ont gentiment cédées...

Merci à Jean Ferrat, et à Jean Gabin, qui ont prêté leur voix - au milieu du désert -

pour faire vibrer notre âme jusqu'au ciel !

Et merci à Jade qui nous a charmés par sa petite philosophie spirituelle pleine d'innocence

et de légèreté.

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Commentaires
G
Merci à toi aussi,chère Mireille!Le matin est pour moi un moment propice pour m'approcher de la margelle du puits pour y puiser des mots de beauté et favoriser la réflexion...Longue vie à ton blogue si riche et si inspirant!
E
ma chère silenciel, que c'est beau ce que tu fais, j'aime beaucoup et beaucoup est bien un simple qualificatif pour xprimer ce que je ressent à lire et regarder ce site. Il y a une belle sensibilité dans toute cette nouvelle aventure que tu vis ,,,, je lève les mains bien haute pour y revenir souvent , et y respirer un peu.<br /> <br /> ellobbo
G
Oui, être arrosé veut dire être recouvert de fines gouttelettes d'eau, et dérive bien de la rosée, parfois les mots font simple. Le mot rose lui par contre, qui a plus que tout autre servi à décliner les cas latins, n'est pas indo-européen, son origine se perd en orient, dans la brume des temps. Et rassure-toi, mes petites galles ne sont pas dangereuses, et quant à la folie, il en faut bien un brin, juste un peu moins qu'un grain... Quant à la galle du rosier, justement, elle porte le beau nom de bédéguar, mot d'origine arabe, et elle a plein de vertus, notamment vulnéraires, elle guérit les blessures. Toutes les gouttelettes d'eau de vie, arrosent le désert...
M
Tiens, Denis, je n'avais jamais remarqué à quel point "arroser" épouse les roses, noires, roses, ou blanches. Alors, j'ai cherché, au fond du jardin, derrière le puits, là où j'ai caché le dictionnaire. Arroser, du latin adrorare, qui a quelque chose à voir avec la rosée. Que voilà un joli vocabulaire !<br /> <br /> Quant à être cécidogène, je n'y vois pas d'inconvénient. Mais je me demande si les cellules du puits risquent aussi la folie, comme celles du pin. <br /> <br /> Pour ceux qui ne comprendraient pas, suivre le lien cécidophile :<br /> <br /> http://www.flickr.com/photos/xden/8433677740/in/contacts/<br /> <br /> Bon, merci Denis. C'est toujours un plaisir de marcher dans tes plates-bandes ! ;-)<br /> <br /> <br /> <br /> Mireille
G
Même si j'aime bien jouer les agents cécidogènes dans les gentilles forêts, et si je renverse parfois un peu d'eau du puits pour arroser mes roses noires, tu sais que c'est par simple, irrépressible, malice de déserteur, alliée à mon côté chamots... Longue vie à ton puits, Mireille, qui pour prospérer, en être et non en avoir, doit rester ce lieu de force, et non de confort. Hommage de bédouin. Amitié océane...
La margelle du puits
  • S'asseoir sur la margelle, se pencher au-dessus du puits, écouter le murmure, offrir son âme au vent qui passe, puiser l'eau du quotidien à la source de la vie, et poser une petite pierre sur le bord du mur.
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